DIGRESSION IDEOLOGIQUE :  
Propagande anti-conditionnement : Endoctrinement au "Groove" ! (l'empathie spontanée)

 

 

 

Conflit(s) bipolaire(s) :
manichéisme primaire et ignominie standardisée

(camouflage : comme les voitures, "banalisées".)

 

  L'idéologie politique a tant exhibé ses failles, qu'elle se trouve supplantée par un brusque réveil de la religion, réduite à sa plus simple expression : celle qui consiste à planter des piquets. A définir des territoires, exigus, mais certifiés. Sur le sol, comme dans les cieux ; dans les esprits comme dans les corps. (Où sont les vampires ? Ne cherchez pas : ils ont changé d'identité, pour s'appeler des "assistés". Mais la concurrence est rude, entre les S.D.F. effarés, et les yachters blasés ...)
L'auto-cloisonnement, au lieu de préfigurer une thérapie psychique, se voit validé tel une panacée frelatée, par les bonimenteurs du service commandé, dans une cacophonie de harangues mal maîtrisée. Le fanatisme, tel un alien, trouve ainsi de nouvelles énergies à vampiriser pour mieux se perpétuer ...

Un jour peut être, on réalisera que spiritualité rime avec harmonie ... On réalisera que la maladie meurt aussi lorsque sa victime a trépassé ...
On réalisera des arches, garantes de la sur-Vie. 
Un jour peut être, on se réalisera pleinement, pour qu'une spiritualité soit mondée de ses dissonances ...

[monder : Nettoyer. Séparer des impuretés : - des raisins.]

  Propagande ancestrale, indigène et atavique, contre propagande volatile, exogène et prosélyte : L'évangélisation est le propre de tous les clergés, de n'importe quelle religion, même celles sans chasseurs de primes.
(Les cultes de la Personnalité, comme celui de la Croissance, restant les plus répandus de nos jours, (au point qu'ils englobent le sondeur et le sondé ...) Le manichéisme, aussi, reste une secte dont les membres vont jusqu'à ignorer à quel mouvance ils appartiennent !


RECETTE  :

  Pour amoindrir la propagande idéologique, et son cortège de fanatisme simili-religieux, pour transcender le romantisme pétri d'idéaux non durables, il suffit d'exacerber la catharsis d'un individualisme sublimé - non pas par charité (éventuellement empreinte de pitié : le paroxysme de l'injure. Le comble de l'orgueil c'est de penser que l'autre puisse attendre après (nous) sa dignité, qui pourtant demeure innée, transgénérationnelle), mais par un désir partagé de dépasser ses limites, de communier dans une foi, authentique (bien que possiblement profane, bien sûr), qui se trouve être la récompense par elle-même, plutôt que la chimérique promesse d'un service après-vente efficient ...


UN POINT D'HONNEUR  :


 Homo-téléspectator : homo-sapiens en stand by, homo-erectus en canapé ...

      Il faut se faire à cette idée : la propagande peut prendre la forme de l'éducation, à l'heure où plus de temps qu'à se nourrir est consacré par le terrien moyen à scuter les écrans. Ce n'est pas une raison pour se résoudre pour autant, à ce que le globe soit peuplé de badauds et de concierges.


A l'heure qu'il est, on conspue les régimes politiques passés, en fonction du nombre de leurs victimes.
Réflexe significatif de la main-mise de la logique économiste sur le mental du tout-venant, sanglé dans des stéréotypes de base.
Mais, il faut savoir qu'en réalité, un meurtre est toujours un geste de trop ! Qu'il s'agisse de celui d'un enfant-soldat de 14 ou même de 16 ans (là le pathos est sensé être quantifiable, inversement proportionnel à l'âge ... Dans les publications à charge contre le Che ce distingo semble être capital ... sans tenir compte du contexte.)
Qu'il s'agisse d'un acte à l'encontre d'un pseudo-"gauchiste" ou d'un prétendu "dignitaire", le crime est un fardeau sur la conscience, un préjudice à son Karma personnel. Nul ne peut prétendre avoir le droit d'attenter à la vie : que l'on soit "croyant" ou pas, la simple logique veut que l'on ne peut reprendre que ce que l'on a donné.
(Entendons nous bien : ce qui ne signifie pas pour autant, que l'ogre est autorisé à manger ses enfants)

... On ne peut pas laisser éternellement l'homo-téléspectator se trouver mortifié (névrose) par la banalisation du tragique ; puis en état de sidération (psychose) quand les mathématiques s'emparent de ce qui est le dépassement de tout : la Mort. Quand il ne reste plus rien pour s'accrocher, on ne peut que "dévisser" (en jargon de varape). Quand le sens est à ce point disqualifié, c'est le départ tout autant que l'arrivée qui se trouvent oblitérés ...

Et c'est comme ça que gagne l'écœurement ... (C'est la santion imédiate). (Pas besoin de vous faire un dessin ...)

Le contraire du groove. L'inverse du fun. La porte ouverte au Grand Portnawak ! Le déshonneur, quoi !

Soyons vigilants, équipons nous d'une télécommande mentale, d'un programme pré-établi par des professionnels, dans lequel on pourra glaner selon ses centres d'intérêt. Cela parait évident, mais rien n'est anodin dans l'exposition, naïve et  sans condition, de cette vulnérable conscience (et pas seulement en bas-âge !) qui est l'objet de tant de spéculations.

Le carburant du moteur narratif ne saurait être galvaudé à ce point : le récit peut s'emparer de la mort pour mieux dérouler les méandres du "comment" (et du "pourquoi" éventuellement), mais au lieu de ça, on assiste à un empilement de dénouements fatals, mécaniquement agencé. Le récit n'a pas d'âme : il se complaît dans l'action (cf. "films d'action") pour mieux se priver de questionnement (et par là, de la jubilation des réponses) ; et mieux se restreindre, dans un épanouissement qui aurait perdu, en route, sa raison d'être ...
Rien de bien enthousiasmant, on en conviendra ...


SEMANTIQUE :

N.B. : La rhétorique propagandiste fasciste (même émanant d'un autoritarisme édulcoré, comme qui dirait "allégé") commence toujours par « Il faut se faire à cette idée », ou « On ne peut pas laisser éternellement  [...]  » ; éventuellement par « Il faut savoir que [...]  » ; elle est ensuite ponctuée de : « y'a un moment où on ne peut plus ! », avec des « c'est pasmonproblème » récurrents (qui signifient insolemment "ce n'est pas ma préoccupation majeure", ou "c'est le cadet de mes soucis") ; et puis se termine toujours par « [...] n'est pas extensible », ou encore quelque chose ressemblant à «  [...] quand on veut “bouger” »

«  [...] quand on veut “bouger” »  = suprême menace : 1/ celle de vouloir, par soi-même ; 2/ de se vouloir mobile, peut être même rester debout ! (Ne pas rester les mains en l'air ne signifiant pas forcément baisser les bras ...)
Non, dans le cas présent "bouger" est entendu comme obéir à un ordre de marche forcée, généralement chronométré, dument daté, ou à un contre-ordre après le fatidique « 
ne bougeons plus !  ». }

{ Tandis que la beauté se montre, à l'unanimité, "infinie", éventuellement "caractérisée", mais jamais dynamique et auteurisée. }

Mais, le "bon sentiment" : c'est "commun" dit-on.

s'affranchir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

lifting d'une vieille aspiration


intoxication à la certitude / auto-aliénation à l'absolu
= condition sine qua non de l'intox idéologico-religieuse

Endoctrinement et/ou conversion : cela laisse peu de place dans la psyche pour le non-dit.

On / off des esprits, dans la "conscience de masse" (le fait est que pour une électricité sécurisée, il convient d'avoir une masse en plus des poles positif et négatif, qui se valent d'ailleurs...)

... In / Out des sectarismes ... (Parfois infiltrés de "taupes", souvent d'espions, d'agents doubles éventuellement, voire triples ...)

On peut s'échapper du fatal recto/verso d'une pensée bipolaire. Il y a, pour ce faire, une alternative :

- Soit par la traque indéfectible de la 3ème voie (" Porter la Trinité indicible, par dessous, pour en faire une croix érigée au carrefour mal famé" ) ;

(cf. le symbole du Tao qui englobe le yin et le yang dans le même cercle en mouvement, ou encore, la croix fichée en terre, tricéphale)

- soit par une inaltérable quête d'Unité, disponible dans la fusion (la "communion" comme on disait sans doute durant la Commune ...)
(cf. le point de jonction, le carrefour central de la croix quadripartite).

Ni communisme ni capitalisme, ni nazisme ni fétichisme, ni fanatisme ni laxisme etc.

Collectivismes ...
crypto-maoisme ? post-sovietisme ? anti-bolchévisme ?
proto-socialisme durable ?

MOUVEMENT COOPERATIF !

LE MUTUALISME !

Le jour où l'Europe, l'Etat, la Région, le Département, le District ou la Mairie, ne demanderont plus du cash, comme impôts, mais du temps, consacré à la communauté, bien des suspicions auront été écartées ... et le néosocialisme deviendra une sinécure, tandis que le libéralisme ressourcé aura des airs de Heavy Metal !


¡ Propaganda !

    Il semble justifié de dire que les extrémismes politiques adorent la propagande, la pratiquent avec passion, et observent les avancées de leur ennemi (car la propagande a toujours contre elle, non pas une réelle contre-propagande* à ses trousses, mais LA propagande d'une idéologie opposée, qu'elle scrute en connaisseuse ...)

* Une réelle contre-propagande ne s'occuperait que de la forme, pas du fond ! Par de la sémiologie critique appliquée, elle pourfend le subliminal !

Car la véritable propagande ("de droite" si on s'aventure dans ce binaire clivage sémantique des opinions ...) ne se contente pas d'assener des vérités et des contre-vérités sans douter de rien, non, ce qu'elle fait de pire, c'est qu'elle valide ses apriori comme des acquis. Elle distille son opinion orientée, comme une certitude anodine, entre les lignes. Telle une concierge qui commencerait toutes ses phrases (nombreuses) par "cela ne me regarde pas mais ..."

La propagande la plus nuisible est celle qui colporte l'apriori, les préjugés, les approximations et les archaïsmes. Celle qui tue les initiatives.

Alors que le fait politique n'est plus qu'une rumeur ... La propagande recrute à tout va. Elle rémunère ses partenaires, et ne le cache pas. Elle engage au lieu de s'engager.

Par exemple : L'icône de Che Guevara (puisque l'image est le vecteur de "propagande" par excellence : elle occupe pas loin de 70% de l'attention cérébrale) n'est pas communiste (puisqu'il est le héros qui dénonça la collusion capitalo-communiste du Nord contre le tribalisme informel du Sud ...) mais, objectivement, serait plutôt tiersmondiste. (Pour nous, on l'a dit, elle est avant tout compassioniste ...)

L'image vit sa vie propre. La propagande tente vainement de la contrôler.
Mais l'Art, bien que dé-sensibilisé et perverti (de sa fonction originelle), outrepasse les consignes et les canons, les banalisations et les addictions.
Et c'est heureux !

GROOVE

- fig. 1 : El Che se grise de groove -


 

 

 

"Alors comme ça le bilan ne sera jamais fait, car il y a des trous énormes dans la banque de données : ce qui n'est pas matériel n'a pas été consigné.
Les handicaps (psychologiques, sémiologiques, etc. mais au bout du compte : économiques, et sociologiques) d'une telle société amnésique ne sont pas sous-estimés : ils sont royalement ignorés.
Esquisse de société, avec des plans manquants. 
Or donc la spiritualité se rassérène par des greffons hirsutes. 
La foi profane donne dans l'Empirique instantané parmi tout le Royaume.
Le système D remplace le plan b qui n'est jamais venu ... Ce n'est pas de la rêverie, c'est du réflexe (improvisé), de l'instinct (conditionné). "

 


 

 

 

"Souvenirs de Vacances Rêvés"

(une courte nouvelle du Pr Fox)

 

 

 

 

“_ HEDONISME ? ”

“_ Affirmatif mon commandant ! ”

 

 Pour le reste, dans nos rapports humains (très automatisés, mécanisés souvent), tout ou presque est propagande, plus ou moins volontaire ...
Conviction plus ou moins consentie.

Le lyrisme est contagieux. L'empathie irrépressible.

Le ryhme est partagé, que ce soit en syncope ("à contre-temps"), ou bien au fond du tempo (sur le temps fort, cardinal). S'il y a du rythme dans la vie, philosophique, politique etc. pourquoi pas du groove ?

Le groove (le charme) n'a pas besoin d'explication formulée pour être convaincant. Ou convaincu.

Il met dans le mille sans viser (surtout sans viser : les archers zen ont les yeux bandés, et ce n'est pas pour frimer ... C'est que ça leur réussit.)

Bien que, dans la vie, tout un chacun puisse malheureusement se fâcher avec l'un de ses proches, ou au sein de sa fratrie ;  au début d'un concert, comme le dit Mac Cartney : "we're already friends !" (nous sommes des amis déjà, sans la moindre preuve, sans le moindre certificat tamponné).
Et si on vient là, ce n'est pas pour jouer les "tricoteuses", (comme ces femmes durant la Révolution française, qui venaient tous les jours assiter au travail de guillotine), souvent un concert reste gravé à vie dans le cœur et l'esprit de ses participants.

PAS FUN > Comparaison de ce qui est comparable :

La "propagande communiste" a donné naissance à un art "officiel", dédié aux gens normaux, fait d'un subtil mélange d'emphase (guère subtile...) et de simplicité (extraordinaire). Avec le recul ce style est d'autant plus intéréssant qu'il s'intègre dans des réalisations architecturales préservées par l'esprit coopératif (et le mécénat), qui sont le pendant du Pop'Art anglo-saxon (lui, plus concentré sur les accessoires, voire la décoration architecturale).
En revanche, dans les autres pays la publicité reste  opportuniste et disparate (pseudo-artistique). Il s'agit d'une propagande intensive, (autrement dit on ne cherche pas à endoctriner, on se contente de conditionner, ce qui est plus sournois). Tout pareillement : une aliénation, qui est censée avoir gagné ses Lettres de Noblesse. Un embrigadement à grande échelle, oui !
$

Effet Pavlov, ou doctrine à épouser : quels maux sont plus hauts que les autres ?


Par ailleurs, on glose maintenant sur les millions de morts causées par le communime soviétique ou chinois. Mais comment ne pas faire le rapprochement avec les millions de victimes de la Loi du Plus Fort (c'est-à-dire de la Loi du Marché).
Pour prendre un exemple : combien d'années encore avant de jauger les responsabilités, et d'estimer le nombre des victimes de l'interdiction aux africains, par les laboratoirs détenteurs des brevets, de fabriquer chez eux des traitements (même "génériques") contre le Sida ?

(L'espérance de vie en 2007 pour un africain est de 47 ans : un jour "les enfants ne sauront plus à quoi ressemble un vieillard")
Les démocraties capitalistes aussi, non seulement sont en guerre parfois, mais induisent des famines, et des pollutions mortelles.
Alors qu'on comptabilise les cadavres d'hier, on ferme les yeux sur le Darfour (otage dans les jeux de pouvoirs, depuis les négoces africano-chinois) qui agonise depuis plusieurs années !

$ SMILEY : Le secret de ce sourire à l'évocation de la Chine ? Avoir mis du glycol dans le dentifrice.
(un progrès : parce que rien qu'une centaine de morts quand le P.C.C. le mettait dans le sirop pour la toux exporté au Panama)

EX2: 1 à 3 millions d'américains, en 2007, ont perdu leur logement suite à la crise de l'immobilier. Certains l'ont appris la veille en lisant leur journal !  (STRATEGIE FROIDE : acheter le client, pour le revendre au collègue ; et mieux l'endetter en lui allouant un crédit pour payer tel autre crédit à vie - cf. le retour de l'esclavage.)


Dans de telles sociétés, la réclame racoleuse et la statistique, ont pris le pas sur le minimum de communication, décemment attendu.

On vous raccroche au nez, si vous ne rentrez pas dans la grille (items requis : mariés, tranche d'âge, profession etc.) Cela après vous avoir dérangé pour vous affirmer que vous avez gagné à une prétendue tombola, à laquelle personne ne croit (dont l'interlocuteur ne se donne même pas la peine de donner l'impression d'y croire : d'autant que la personne en ligne pour vous inciter à aller dans la Z.I. à côté de chez vous , appelle de l'Afrique Noire ou d'Asie ...)

On vous raccroche au nez, aux renseignements (l'annuaire est devenu payant, les horaires de trains également) ou au S.A.V., après vous avoir fait patienter, puis mariner, sur une ligne à fort taux de tarif de connection !
Ou alors c'est le standard qui se coupe à une heure fatidique (non signalée dans le "répondeur vocal") alors même que vous étiez en train de conclure l'affaire ! (Le profit de la communication valant mieux sans doute, par le nombre d'occurrences, que la vente à proprement parler).

Si vous êtes européen, on vous fait comprendre lors d'une tentative d'achat auprès d'une firme américaine, que le réseau est plus indiqué à l'usage des actionnaires, plutôt, en multipliant les difficultés pour un simple achat de particulier (il faut téléphoner en Irlande, seul lieu connu des services, au mieux-dit fiscal, convertir la monnaie en plusieurs mandats, pour pouvoir dépasser le plafond autorisé etc.)
Pourtant on peut se demander de quoi vivront les actionnaires lorsque les firmes ne vendront plus rien (et que leur personnel licencié n'aura plus les moyens d'acheter le superflu) !

Et, cerise sur le gâteau, en matière de communication : il est désormais interdit de sourire sur les Cartes d'Identités et les Passeports !!!!
(de porter des lunettes également : "délit de faciès intello" ... et pas de maquillage, bien évidemment)

Pas groovy !

pas glop !



"... une information, c’est un ensemble de mots d’ordre. Quand on vous informe, on vous dit ce que vous êtes sensés devoir croire. En d’autres termes: informer c’est faire circuler un mot d’ordre. Les déclarations de police sont dites, à juste titre, des communiqués ; on nous communique de l’information, c’est à dire, on nous dit ce que nous sommes censés être en état ou devoir croire, ce que nous sommes tenus de croire. Ou même pas de croire, mais de faire comme si l’on croyait, on ne nous demande pas de croire, on nous demande de nous comporter comme si nous le croyions..."

 G. Deleuze (Femis à Paris)


Education réduite (à sa plus simple expression) = Information frelatée :

Dans l'enseignement primaire, la philosophie et les Sciences Naturelles (quoi de plus élémentaire !?) ont quasiment disparu.

Les Ecoles des Beaux-Arts sont remplacées par des Ecoles de Design (de nos jours, le beau doit être fonctionnel, bien sûr)


 

Recrutement massif (un mur entier lui est dédié dans les Agences Nationales pour l'Emploi) dans :

  • L'armée (gros gros budget - l'el dorado !)
  • La gendarmerie (ce qui est normal compte tenu qu'il n'y a plus de recrues obligées par le Service Miltaire. On préfère une armée de métier, et la tendance mondiale est à l'usage de mercenaires (quoi de plus simple que le patriotisme à temps partiel !?) pour des raids éclairs et des frappes "chirurgicales" ...)
  • La police (en particuleir ferroviaire : à privilégier la suspiscion sur le dialogue, on a pu constater des infractions quasiment provoquées, rendement oblige. La sanction immédiate n'est pas garante de résultats durables...)
  • Les surveillants (un peu partout, sauf ceux qui seraient qualifiés pour les établissements scolaires ...) Travail en cheville avec les robots (caméras, micros, etc. Un marché porteur ...)
  • Les vigiles (milice "light"). Avec ou sans chien. Après un accident les médias ont observé que les animaux étaient nourris et logés à la même enseigne que leurs dresseurs, c'est-à-dire parfois "en dessous du seuil de la pauvreté" comme on dit dans les statistiques ...
    Mais les malheureuses victimes ressentent bien dans leur chair qu'elles ne sont pas que l'ombre de numéros sur un listing survolé ...)

 

LAISSEZ LES VIVRE.

Les nantis et les élites, aussi, ont droit à une seconde chance dans leur vie ...  
Pas de discrimination ni de favoritisme. C'est la règle
.

  Dès lors que l'on a constaté que Trotsky fut assassiné par son successeur pour accéder au pouvoir, ou que Kennedy le fut (probablement par les services secrets) pour sa diminution de complaisance avec la mafia, on sait que l'on a affaire à des tueurs, pas à des philanthropes. Et tous les discours attenants des responsables connexes, ne sont dès lors plus recevables !

Laissons la philosophie aux philosophes, la foi aux gens de spiritualité (même profane), l'économie aux comptables, l'art aux artistes, la science aux savants etc. Ainsi les vaches seront bien gardées (expression coutumière en pareil cas, bien qu'insignifiante ;-) d'autant que les vaches sont rares sur les îles Caraïbes ... ce sont plutôt des cabris. Et, l'on n'en mange pas tous les jours, du cabri. Car ça n'est pas du fast-food ...)

Cela d'autant plus que la confiscation des richesses longtemps programmée dans les théories marxistes (étape préliminaire dite de la "dictature du prolétariat") n'est plus envisageable physiquement (comme lorsque la richesse était liée le plus souvent, à l'élevage et à la Terre cultivée, ou à ses minerais en dessous, ou à quelque canal fluvial ou maritime dessus etc. A du concret, à la base.)
Un vœux pieux ; puisque le Grand Oeuvre de l'ultralibéralisme est précisément la dématérialisation des fortunes diverses. Il ne servira à rien de "couper le cou" (on dit aussi "faire tomber des têtes", et pas seulement pendant les révolutions ...) à un possédant abusif : ses richesses sont immatérielles et impersonnelles, alors les computeurs le remplaceraient immédiatement.

De la même façon, tous les catéchismes néolibéraux, qui nichent leurs avatars épineux dans le doux concept élastique de "démocratie", deviennent indéfendables à partir du moment où leurs effets collatéraux ravageurs sont supérieurs (et exponentiellement croissants), par rapport aux bienfaits qu'ils prétendent apporter (évaluation le plus souvent limitée à une jauge dans le P.I.B. - "produit intérieur brut par habitant" ... Brut ? D'habitude les bienfaits sont plutôt doux ... :-/ )


« Celui qui accepte le mal sans lutter contre lui coopère avec lui. »
Martin Luther King

- fig. 2 : El Che s'introspecte -

 

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